Serge Reynaud artiste plasticien pédagogue
Artiste plasticien, né en 1950, il débute son atelier en 1974, après un détour par l’éducation nationale, il crée un atelier de créations de marionnettes à fils et de masques, étudiant passionnément la Commedia dell’Arte, fait connaître son travail sur Paris et Venise Rejoint par son épouse Claudia Marchesin en 1978 Ils créent et animent depuis 1981 l’atelier ART OF FLYING « J’ai toujours été intéressé par les avions et les machines volantes , surtout celles qui volent mal, voire pas du tout, ce sont avant tout des objets d’art, créations de l’imaginaire humain dans sa quête de rejoindre les merveilleux nuages.
Sélectionnées très vite dans les expositions internationales, les machines volantes firent le tour du monde.
Dès l’enfance Serge Reynaud s’est toujours vécu comme sculpteur, dessinateur et peintre, et secrètement pédagogue.
Mais son tempérament de chercheur ne pouvait se satisfaire de ses simples talents : « à quoi cela sert-il de savoir dessiner, sculpter etc… ? » question qu’il se posa dès l’adolescence.
Plus tard, ses propres enquêtes lui firent découvrir le lien entre l’art et la science, l’art et la connaissance.
L’étude de l’œuvre de Leonardo da Vinci et sa découverte du Gœthéanisme le confirmèrent dans ses intuitions.
Habité par l’idée qu’une technique aussi sophistiquée que l’aviation moderne est issue uniquement d’un rêve humain inutile et poétique : « voler ! faire comme les oiseaux ! » il a créé les installations suivantes :
Avec Claudia : « Machines Volantes et léonardesques » avec dessins, plans, machines improbables, et « Une Aile de Léonard » de 6mx2m, réalisée d’après les esquisse du maître florentin considérée par François St Bris gestionnaire du Clos Lucé, où Léonard passa les 3 dernières année de sa vie comme une réussite, et la plus belle qui existe actuellement.
« La Passarola » Une étrange machine volante
Avec le soutien de l’écrivain portugais Jose Saramago Prix Nobel de littérature.
« Eoliennes recherches inutiles pour un projet inutile » sur l’air, l’eau et les mouvements tourbillonnaires.
« Acqua Amore, l’eau et les formes du vivant » installation poético- scientifique inspiré par une réflexion d’Antoine de St Exupery :
« L’eau n’est pas nécessaire à la vie, elle est la vie ! »